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Lionel Bellenger


Quand les résultats ne sont pas au rendez-vous, c’est sur l’action qu’il faut concentrer l’énergie et sur l’opérationnel qu’il convient de resserrer le discours.

Ce qui compte ce n’est pas ce qu’on dit ou ce qu’on promet, c’est ce qu’on fait vraiment.

Quand on négocie, il faut autant avoir le souci de la qualité d’adhésion que du résultat.

Ecoutez plus, il en restera toujours quelque chose.

Il faut se méfier des apparences, l’ombre du zèbre n’est pas rayée.

Il n’y a pas besoin d’avoir été cheval dans une autre vie pour être un bon jockey.

Qui veut trop prouver et avoir raison provoque des résistances et dissuade au lieu de persuader.

On ne réussit pas grand chose quand on s’est mis à dos la plupart des gens.


Les gens ne se défoncent que pour les dirigeants qui leur accordent de l’estime.

L’humour est le plus élevé des signes d’intelligence.

Le succès va à ceux qui savent dire l’essentiel et s’occuper du détail qui fait la différence.

Quand les gens se disputent, le seul qui écoute, c’est celui qui a l’oreille collée à la porte et qui s’en amuse.

C’est moins fatiguant d’être de bonne humeur que de râler.

Il ne suffit pas d’agir en connaissance de cause, il devient urgent d’agir en connaissance de conséquence.

A ceux qui vivent entourés de tableaux de bord, on rappellera qu’on ne gagne pas un match de basket dans les dernières minutes en regardant le tableau d’affichage.

Le parti pris d’optimisme, c’est ce qui guérit et qui fait avancer.

Douter est sain si ça invite à se remettre en cause.